Adolescents’ Mental Health is Related to Physical Activity Operationalized in Different Ways

Authors

  • John Dwyer University of Guelph
  • Stephanie Miles University of Guelph
  • Michelle Edwards University of Guelph
  • Kenneth Allison KR Allison Research Consulting and University of Toronto

Keywords:

Physical activity, psychological, mental health, adolescent

Abstract

The relationship between multiple measures of physical activity (PA) and mental health among adolescents was examined.  Adolescents (n = 460) in Toronto, Ontario completed four PA measures (assessing frequency of moderate PA, frequency of vigorous PA, frequency of moderate and vigorous PA, and metabolic equivalent (MET) hours/week) and the General Health Questionnaire - 12 (GHQ-12) scales.  Participants who reported high PA had lower anxiety/depression and fewer problems in social functioning.  Hierarchical regression results indicated that, in general, PA level operationalized in four different ways, along with selected demographic variables (age, sex and body mass index (BMI)), explained four to seven percent of the variance in mental health, with 2% typically and no more than 4% representing the additional variance contributed by the PA level.  The negative relationship between mental health and various measures of PA is consistent, suggesting that policies and programs should promote mental health through PA.

 

Cette étude porte sur liens entre les nombreuses mesures de l’activité physique et la santé mentale chez les adolescents. Des adolescents  (n = 460) de Toronto, en Ontario, se sont prêtés à quatre mesures de l’activité physique (évaluation de la fréquence d’une activité physique modérée, de la fréquence d’une activité physique vigoureuse, de la fréquence d’une activité physique modérée et vigoureuse, et équivalences métaboliques par heure/semaine) à l’aide des barèmes du Questionnaire sur la santé générale  (General Health Questionnaire – 12).  Les participants qui affirmaient avoir un haut niveau de pratique d’activité physique avaient un taux d’anxiété et de dépression plus faible et moins de problèmes dans des contextes sociaux. Les résultats de l’analyse de régression hiérarchique indiquent qu’en général, le niveau d’activité physique, mesuré de quatre façons différentes, jumelé  à certaines des variables démographiques (âge, sexe et indice de masse corporelle)  peuvent  expliquer de 4 % à 7 % des écarts en santé mentale, avec 2 % typiquement et pas plus de 4 % illustrant l’écart additionnel lié au niveau de pratique d’activité physique. La relation négative entre les problèmes de santé  mentale et diverses mesures de l’activité physique est constante, ce qui porte à croire que les politiques et programmes devraient chercher à promouvoir la santé mentale par le biais de l’activité physique.

 

Author Biographies

John Dwyer, University of Guelph

Associate Professor

Department of Family Relations and Applied Nutrition

Stephanie Miles, University of Guelph

Department of Family Relations and Applied Nutrition

Michelle Edwards, University of Guelph

Computing and Communications Services

Kenneth Allison, KR Allison Research Consulting and University of Toronto

Dalla Lana School of Public Health, University of Toronto

Downloads

Published

2011-03-18

Issue

Section

Feature Articles / Articles de fond